Ma Pédagogie
On peut être le meilleur Cuisinier du monde mais pas forcément le meilleur pour transmettre son savoir culinaire. Dans le même temps, on peut ne pas être le meilleur cuisinier du monde mais être un bon enseignant en technologies culinaires.
Cela fait très longtemps que j’ai compris cela par les différentes expériences que j’ai peu vivre un peu partout à travers le monde et surtout en Suisse.
Transmettre, c’est comme donner des petites parties de son savoir à doses infimes mais régulières ; toujours dans l’acceptation des différences de l’apprenant, qui font la richesse de notre métier de cuisinier.
Transmettre, c’est aussi écouter et comprendre. Ecouter les autres mais surtout soi-même, afin de ne pas s’égarer trop facilement dans sa propre complaisance et croire que l’enseignement va que dans une seule direction tacitement socratique.
Quels sont les besoins de l’apprenant que l’on a en face de soi mais surtout comprendre les défis qui attendent celui-ci face aux enjeux qui attendent celui-ci dans un monde professionnel où tout va très vite ?… Est-ce qu’ »écouter » ne serait pas la première faculté d’un enseignant ?
Enseigner c’est aussi de se remettre en question quant à son enseignement dans son contenu mais surtout dans ses concepts de pratiques culinaires. Un peu comme dans d’autres domaines de formation, on a le devoir de mettre à jour ses pratiques en ayant toujours un temps d’avance sur l’actualité et d’analyser ce que le monde professionnel sera prochainement.
Philippe Ligron
Maitre d’enseignement professionnel diplômé
Cela fait très longtemps que j’ai compris cela par les différentes expériences que j’ai peu vivre un peu partout à travers le monde et surtout en Suisse.
Transmettre, c’est comme donner des petites parties de son savoir à doses infimes mais régulières ; toujours dans l’acceptation des différences de l’apprenant, qui font la richesse de notre métier de cuisinier.
Transmettre, c’est aussi écouter et comprendre. Ecouter les autres mais surtout soi-même, afin de ne pas s’égarer trop facilement dans sa propre complaisance et croire que l’enseignement va que dans une seule direction tacitement socratique.
Quels sont les besoins de l’apprenant que l’on a en face de soi mais surtout comprendre les défis qui attendent celui-ci face aux enjeux qui attendent celui-ci dans un monde professionnel où tout va très vite ?… Est-ce qu’ »écouter » ne serait pas la première faculté d’un enseignant ?
Enseigner c’est aussi de se remettre en question quant à son enseignement dans son contenu mais surtout dans ses concepts de pratiques culinaires. Un peu comme dans d’autres domaines de formation, on a le devoir de mettre à jour ses pratiques en ayant toujours un temps d’avance sur l’actualité et d’analyser ce que le monde professionnel sera prochainement.
Philippe Ligron
Maitre d’enseignement professionnel diplômé